jeudi 7 décembre 2017

Carnets dijonnais 6: "La carrière lyrique, ou l'ataraxie impossible"




Coefficient 7, vous avez 4 heures.














Etc...etc...

4 commentaires:

  1. Courage
    A une euphorie, succède toujours une déprime
    Le métier de chanteur aujourd'hui : ça oscille entre sacrifice-précarité et épanouissement-accomplissement
    Compte tenu du raz de marée libéral, les artistes se retrouvent en situation de dépendance économique confinant souvent à l'esclavage.
    C'était moins dur avant ?

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    1. Très bonne question. On a coutume de toujours dire que c'était mieux avant, mais au fond, en est-on sûrs ? Ma foi, ce qui compte, c'est de prendre le bonheur là où il est, tantôt à la maison, tantôt sur scène :-)

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  2. Je me demande aussi si la pression des « nouveaux arrivants » n'explique pas aussi cette précarité… Autrement dit, est-ce qu'il n'y a pas à présent plus d'aspirants chanteurs qui obligent ceux déjà en place à faire plus de sacrifices afin que les nouveaux ne prennent pas leur place ? Jusqu'à renoncer à la maternité – par exemple ?

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    1. Oh, pour ça je pense que c'est un peu pareil dans beaucoup de métiers: on prend de l'âge, on voit arriver les petits nouveaux pleins de talent, et on se bat pour sauver sa place... Mais c'est vrai que le nombre de productions d'opéra ne va pas en augmentant, et du coup, les places sont chères !

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