Il y a un mois, je terminais une très belle production de "La Princesse de Trébizonde" d'Offenbach, à l'opéra de St Etienne.
Et, une fois n'est pas coutume, j'y jouais un rôle de garçon: le jeune prince Raphaël, qui découvre l'amour.
C'est l'occasion rêvée de parler politique et actualité...
...et en bonus, ma carte de première ! (oui, oui, j'étais vraiment un beau garçon)
Ah oui, c'est saisissant, un vrai bogosse ! :)
RépondreSupprimer:-)
SupprimerSuperbe carte de première ;-) J'ai toujours aimé les filles qui se roulaient des pelles à l'Opéra :-))
RépondreSupprimerMerci ! Je dois d'ailleurs avouer que j'ai bien aimé rouler des pelles à la jolie Amel. Ravie que ça t'ait plu ;-)
SupprimerMagnifique crayonné, et le bogoss de la carte est une superbe tête à claques, très réussi !!
RépondreSupprimerJe pense que même les vieux bourgeois réac aiment bien voir des filles se rouler des pelles, alors, quand ils ont le droit de regarder... vive l'opéra ^^
Quand on pense à l'opéra "David et Jonathas" de Marc Antoine Charpentier, d'une certaine manière, ça parlait déjà un peu d'homosexualité entre les deux rôles-titres ;-)
RépondreSupprimerLes pelles : Bof ! ça m'est assez égal (quel langage châtié, n'est-ce pas ?)
RépondreSupprimerMais un hénorme merci pour l'air de la rage de dents où vous avez été sublime.
F. G. stéphanois
Brassens aurait pu chanter :
RépondreSupprimer« androgynie, mise à part, la sage avait raison
Les filles beau gosse, on n'en trouve pas à foison ! »
Marie,
RépondreSupprimerPlus les pages de ton blog défilent et plus je suis admirative envers toi...
Tu étais une magnifique Charlotte, une extraordinaire Carmen si on en crois les critiques et, en plus un formidable Raphaël.
Continue sur ta lancée, nous te suivons, tes petits frères et petites sœurs. De loin ou de près, nous aurons toujours un œil sur toi.
Merde pour la suite. <3
A Wertherienne.